AUTOPORTRAIT
Numéro d'inventaire : 1994.21.01
Auteur : COGNARD Patrick
Date de création : 1989
Domaine : Peinture
Matière technique : Pastel et acrylique sur carton ondulé
Mesures :
Hauteur en cm : 55
Largeur en cm : 50
Description analytique : Après un passage aux Beaux-Arts, Patrick COGNARD passe le CAPES d’arts plastiques et devient enseignant. C’est en 1988 qu’il s’installe à La Réunion. Il participe à diverses expositions collectives, notamment dans le cadre du festival du Livre, des fêtes au parc boisé du Port et du festival Pinson à Saint-Leu. Son inspiration sur le plan artistique lui vient de deux pôles : l’Afrique et la Grèce. Il a commencé par la peinture abstraite, sur le thème de l’usé, qu’il a abandonné peu à peu pour peindre des autoportraits ou des portraits de ses élèves notamment. «A travers ma peinture, dit-il, je livre mes sentiments en tant qu’individu». Pour Patrick COGNARD, une œuvre parle d’abord aux sens, à la sensibilité et ensuite à l’intellect. L’artiste revendique un discours structuré, intransigeant. Patrick COGNARD affirme que s’il fait des autoportraits c’est parce qu’il est le modèle le plus disponible, celui qu’il connaît le mieux. Il peint aussi des réactions spontanées, des prises de position par rapport à des événements tels que la guerre en Bosnie et au Rwanda, considérant cela comme l’enfer sur terre. «L’enfer c’est toutes les horreurs qu’on nous présente à la télé et dans les journaux ; la culture et l’art sont les moyens de faire un monde vivable». Ses supports sont relativement simples. Il utilise souvent du papier journal, du carton ou encore du polystyrène expansé. Il utilise aussi des peintures simples comme de l’aquarelle. Il recherche toujours l’originalité dans ses peintures dont le maître mot se résume à la création. A l’espace Laleu en 1993, il investit directement les murs avec des grandes figures inspirées de Michel Ange, notamment pour commémorer l’esclavage. Il travaille sous deux pseudonymes : Xéno et Piti, selon son humeur.
Mots clés :
figure - figures - représentation humaine - genre iconographique - HOMME - PERSONNAGE - AGE ET SEXE - ETRE HUMAIN - ANATOMIE - SCIENCES PURES - TÊTE - PARTIE DU CORPS - LE CORPS HUMAIN - ETRE HUMAIN - ANATOMIE - SCIENCES PURES - OEIL - PARTIE DE TETE - PARTIE DU CORPS - LE CORPS HUMAIN - ETRE HUMAIN - ANATOMIE - SCIENCES PURES -
Auteur : COGNARD Patrick
Date de création : 1989
Domaine : Peinture
Matière technique : Pastel et acrylique sur carton ondulé
Mesures :
Hauteur en cm : 55
Largeur en cm : 50
Description analytique : Après un passage aux Beaux-Arts, Patrick COGNARD passe le CAPES d’arts plastiques et devient enseignant. C’est en 1988 qu’il s’installe à La Réunion. Il participe à diverses expositions collectives, notamment dans le cadre du festival du Livre, des fêtes au parc boisé du Port et du festival Pinson à Saint-Leu. Son inspiration sur le plan artistique lui vient de deux pôles : l’Afrique et la Grèce. Il a commencé par la peinture abstraite, sur le thème de l’usé, qu’il a abandonné peu à peu pour peindre des autoportraits ou des portraits de ses élèves notamment. «A travers ma peinture, dit-il, je livre mes sentiments en tant qu’individu». Pour Patrick COGNARD, une œuvre parle d’abord aux sens, à la sensibilité et ensuite à l’intellect. L’artiste revendique un discours structuré, intransigeant. Patrick COGNARD affirme que s’il fait des autoportraits c’est parce qu’il est le modèle le plus disponible, celui qu’il connaît le mieux. Il peint aussi des réactions spontanées, des prises de position par rapport à des événements tels que la guerre en Bosnie et au Rwanda, considérant cela comme l’enfer sur terre. «L’enfer c’est toutes les horreurs qu’on nous présente à la télé et dans les journaux ; la culture et l’art sont les moyens de faire un monde vivable». Ses supports sont relativement simples. Il utilise souvent du papier journal, du carton ou encore du polystyrène expansé. Il utilise aussi des peintures simples comme de l’aquarelle. Il recherche toujours l’originalité dans ses peintures dont le maître mot se résume à la création. A l’espace Laleu en 1993, il investit directement les murs avec des grandes figures inspirées de Michel Ange, notamment pour commémorer l’esclavage. Il travaille sous deux pseudonymes : Xéno et Piti, selon son humeur.
Mots clés :
figure - figures - représentation humaine - genre iconographique - HOMME - PERSONNAGE - AGE ET SEXE - ETRE HUMAIN - ANATOMIE - SCIENCES PURES - TÊTE - PARTIE DU CORPS - LE CORPS HUMAIN - ETRE HUMAIN - ANATOMIE - SCIENCES PURES - OEIL - PARTIE DE TETE - PARTIE DU CORPS - LE CORPS HUMAIN - ETRE HUMAIN - ANATOMIE - SCIENCES PURES -