SPACCANAPOLI
Numéro d'inventaire : 1992.49.16
Auteur :
Date de création :
Domaine : Photographie
Matière technique : Photographie couleur
Mesures : Hauteur en cm : 35,5 Largeur en cm : 49,5
Description : Dans « Epidémies », un homme mort est chargé sur le dos d’un autre qui le soustrait à la rue sans doute pour qu’il ne contamine personne, à moins que ce soit pour respecter l’ordre inscrit sur le mur interdisant les déchets ! Autrefois, à Naples, les épidémies successives décimaient la population. La ville conserve le souvenir de ces corps inertes, traînés, amoncelés. « Cette image est nourrie de toutes les peintures napolitaines que j'ai travaillées » déclare l’artiste, On sent que les mains du mort vont cogner sur chaque marche de cet escalier qui s'enfonce sous la ville, et dont la porte en trompe l’oeil répond à celle de l’architecture. Isabelle Poussier Janvier 2011
Mots clés : figure / figures / représentation humaine / genre iconographique / HOMME / PERSONNAGE / AGE ET SEXE / ETRE HUMAIN - ANATOMIE / SCIENCES PURES / MUR / ARCHITECTURE GENERALE / ARCHITECTURE / ART ET DIVERTISSEMENT / RUE / QUARTIER / ARCHITECTURE URBAINE / ARCHITECTURE / ART ET DIVERTISSEMENT / AUTOMOBILE / VEHICULE AUTOMOBILE / TRANSPORT PAR VEHICULE / MOYEN DE TRANSPORT ROUTIER / MODE DE TRANSPORT ROUTIER / TRANSPORT ROUTIER / TRANSPORT TERRESTRE / TRANSPORT / SCIENCES APPLIQUEES, MEDECINE, TECHNOLOGIE / PORTE / BAIE / ARCHITECTURE GENERALE / ARCHITECTURE / ART ET DIVERTISSEMENT / MORT / FIN DE VIE / FONCTION DU CORPS / LE CORPS HUMAIN / ETRE HUMAIN - ANATOMIE / SCIENCES PURES /
Auteur :
Date de création :
Domaine : Photographie
Matière technique : Photographie couleur
Mesures : Hauteur en cm : 35,5 Largeur en cm : 49,5
Description : Dans « Epidémies », un homme mort est chargé sur le dos d’un autre qui le soustrait à la rue sans doute pour qu’il ne contamine personne, à moins que ce soit pour respecter l’ordre inscrit sur le mur interdisant les déchets ! Autrefois, à Naples, les épidémies successives décimaient la population. La ville conserve le souvenir de ces corps inertes, traînés, amoncelés. « Cette image est nourrie de toutes les peintures napolitaines que j'ai travaillées » déclare l’artiste, On sent que les mains du mort vont cogner sur chaque marche de cet escalier qui s'enfonce sous la ville, et dont la porte en trompe l’oeil répond à celle de l’architecture. Isabelle Poussier Janvier 2011
Mots clés : figure / figures / représentation humaine / genre iconographique / HOMME / PERSONNAGE / AGE ET SEXE / ETRE HUMAIN - ANATOMIE / SCIENCES PURES / MUR / ARCHITECTURE GENERALE / ARCHITECTURE / ART ET DIVERTISSEMENT / RUE / QUARTIER / ARCHITECTURE URBAINE / ARCHITECTURE / ART ET DIVERTISSEMENT / AUTOMOBILE / VEHICULE AUTOMOBILE / TRANSPORT PAR VEHICULE / MOYEN DE TRANSPORT ROUTIER / MODE DE TRANSPORT ROUTIER / TRANSPORT ROUTIER / TRANSPORT TERRESTRE / TRANSPORT / SCIENCES APPLIQUEES, MEDECINE, TECHNOLOGIE / PORTE / BAIE / ARCHITECTURE GENERALE / ARCHITECTURE / ART ET DIVERTISSEMENT / MORT / FIN DE VIE / FONCTION DU CORPS / LE CORPS HUMAIN / ETRE HUMAIN - ANATOMIE / SCIENCES PURES /