PRECIPICE
Numéro d'inventaire : 1997.01.01
Auteur : BARBIER Jean Paul
Date de création : 1986
Domaine : Peinture
Matière technique : Huile sur bois
Mesures : Hauteur en cm : 53,5 Largeur en cm : 40
Description : Jean-Paul Barbier vit à La Réunion depuis cinquante ans et dans les Hauts de L’Etang-salé, depuis une quinzaine d’années. Sa passion pour la peinture remonte à la petite enfance, lorsqu’un parent lui offrit une boite de peinture comme cadeau d’anniversaire. Jean-Paul dit que ce fut un véritable bouleversement pour lui. Et puis il y avait ces balades, place du Tertre, à Paris, quand son grand-père l’emmenait voir les peintres assis devant leur chevalet. La toile blanche, les premiers traits de l’esquisse, un visage qui peu à peu apparaissait, tout cela fascinait l’enfant. Son inspiration, Jean-Paul Barbier la trouve autour de lui, dans les paysages qui l’entourent, dans les visages de ses proches aussi. La nature il la peint telle qu’il aimerait qu’elle soit, luxuriante comme il l’a connue en arrivant sur l’île, à la fin des années 60. Les couleurs de ses paysages à lui sont vives, presque fauves. Pour l’artiste, peindre est le moyen le plus efficace et le plus sain qu’il ait trouvé pour oublier ses soucis.David Rautureau, 2020
Mots clés : représentation non figurative
Auteur : BARBIER Jean Paul
Date de création : 1986
Domaine : Peinture
Matière technique : Huile sur bois
Mesures : Hauteur en cm : 53,5 Largeur en cm : 40
Description : Jean-Paul Barbier vit à La Réunion depuis cinquante ans et dans les Hauts de L’Etang-salé, depuis une quinzaine d’années. Sa passion pour la peinture remonte à la petite enfance, lorsqu’un parent lui offrit une boite de peinture comme cadeau d’anniversaire. Jean-Paul dit que ce fut un véritable bouleversement pour lui. Et puis il y avait ces balades, place du Tertre, à Paris, quand son grand-père l’emmenait voir les peintres assis devant leur chevalet. La toile blanche, les premiers traits de l’esquisse, un visage qui peu à peu apparaissait, tout cela fascinait l’enfant. Son inspiration, Jean-Paul Barbier la trouve autour de lui, dans les paysages qui l’entourent, dans les visages de ses proches aussi. La nature il la peint telle qu’il aimerait qu’elle soit, luxuriante comme il l’a connue en arrivant sur l’île, à la fin des années 60. Les couleurs de ses paysages à lui sont vives, presque fauves. Pour l’artiste, peindre est le moyen le plus efficace et le plus sain qu’il ait trouvé pour oublier ses soucis.David Rautureau, 2020
Mots clés : représentation non figurative