MON COCO
Numéro d'inventaire : 2001.33.01.3
Auteur : JOLET Jean Claude
Date de création : 2001
Domaine :
Matière technique : Photographie
Mesures : Hauteur en cm : 30 Largeur en cm : 30
Description : « Mon coco, ma tête en créole, est également en souvenir du « sobriquet que me donnait ma mère quand j’étais petit ». Ce travail auto biographique évoque avec une certaine ironie ce moment douloureux de l’enfance où ce jeune Antillais de la région parisienne prend peu à peu conscience de sa couleur, de sa différence dans un environnement européen. « Cette prise de tête » suivant l’expression de Jean-Claude est ici déclinée dans la chair d’une véritable noix de coco. Dans le creux de la forme ovoïde JOLET place l’empreinte en fonte d’aluminium de sa main la brûlure du métal en fusion impose à la matière végétale la douleur de cette prise de conscience. Sur l’autre socle, une plaque de plexi impose le silence à une bouche dont elle écrase le volume des lèvres. Des « photomatons » habituellement utilisées pour l’identité rejouent la violence castratrice des gestes symboliques.Yves Michel Bernard, décembre 2010
Mots clés : portrait / portraits / représentation humaine / genre iconographique / COCO / FRUIT / PARTIE DE VEGETAL / BOTANIQUE / SCIENCES PURES / MAIN / BRAS / MEMBRE / PARTIE DU CORPS / LE CORPS HUMAIN / ETRE HUMAIN - ANATOMIE / SCIENCES PURES /
Auteur : JOLET Jean Claude
Date de création : 2001
Domaine :
Matière technique : Photographie
Mesures : Hauteur en cm : 30 Largeur en cm : 30
Description : « Mon coco, ma tête en créole, est également en souvenir du « sobriquet que me donnait ma mère quand j’étais petit ». Ce travail auto biographique évoque avec une certaine ironie ce moment douloureux de l’enfance où ce jeune Antillais de la région parisienne prend peu à peu conscience de sa couleur, de sa différence dans un environnement européen. « Cette prise de tête » suivant l’expression de Jean-Claude est ici déclinée dans la chair d’une véritable noix de coco. Dans le creux de la forme ovoïde JOLET place l’empreinte en fonte d’aluminium de sa main la brûlure du métal en fusion impose à la matière végétale la douleur de cette prise de conscience. Sur l’autre socle, une plaque de plexi impose le silence à une bouche dont elle écrase le volume des lèvres. Des « photomatons » habituellement utilisées pour l’identité rejouent la violence castratrice des gestes symboliques.Yves Michel Bernard, décembre 2010
Mots clés : portrait / portraits / représentation humaine / genre iconographique / COCO / FRUIT / PARTIE DE VEGETAL / BOTANIQUE / SCIENCES PURES / MAIN / BRAS / MEMBRE / PARTIE DU CORPS / LE CORPS HUMAIN / ETRE HUMAIN - ANATOMIE / SCIENCES PURES /