MARIE ET COLETTE
Numéro d'inventaire : 2010.10.01
Auteur : PAYET Leïla
Date de création : 2010
Domaine :
Matière technique :
Mesures :
Description : Après l’obtention d’un DNSEP en 2009 à l’École Supérieure d’Art de La Réunion, Leila Payet travaille en tant que chargée des collections au FRAC Réunion. Elle enchaine ensuite des postes dans le secteur culturel à Paris et à Metz puis, à partir de 2014, porte des projets d’expositions au sein de l’association « Mondes du cinéma », qu’elle codirige. Elle mène aussi différents projets d’expositions avec l’association « Le mètre carré ». Après une longue résidence de recherche artistique à la galerie « The Windows Paris », elle rentre à La Réunion en 2017 et enseigne les arts-plastiques durant 2 années. Elle reprend aujourd’hui une formation en art-thérapie contemporaine. Elle continue parallèlement sa production plastique et son travail de commissaire d’expositions. Leïla Payet questionne le « récit de fabrication » de cette île. Les images et les données qu’elle compile compose des œuvres qui s’apparentent en partie à ce que l’on nomme art « primitif » ou « exotique » et elle les confronte à des modes de pensées plus globalisés. Ces œuvres sont conçues comme des productions embryonnaires nées d’un langage primaire. Elles apparaissent telles des ritournelles qui interrogent la notion de créolisation et portent en creux une lutte pour une réappropriation culturelle.David Rautureau, 2020
Mots clés :
Auteur : PAYET Leïla
Date de création : 2010
Domaine :
Matière technique :
Mesures :
Description : Après l’obtention d’un DNSEP en 2009 à l’École Supérieure d’Art de La Réunion, Leila Payet travaille en tant que chargée des collections au FRAC Réunion. Elle enchaine ensuite des postes dans le secteur culturel à Paris et à Metz puis, à partir de 2014, porte des projets d’expositions au sein de l’association « Mondes du cinéma », qu’elle codirige. Elle mène aussi différents projets d’expositions avec l’association « Le mètre carré ». Après une longue résidence de recherche artistique à la galerie « The Windows Paris », elle rentre à La Réunion en 2017 et enseigne les arts-plastiques durant 2 années. Elle reprend aujourd’hui une formation en art-thérapie contemporaine. Elle continue parallèlement sa production plastique et son travail de commissaire d’expositions. Leïla Payet questionne le « récit de fabrication » de cette île. Les images et les données qu’elle compile compose des œuvres qui s’apparentent en partie à ce que l’on nomme art « primitif » ou « exotique » et elle les confronte à des modes de pensées plus globalisés. Ces œuvres sont conçues comme des productions embryonnaires nées d’un langage primaire. Elles apparaissent telles des ritournelles qui interrogent la notion de créolisation et portent en creux une lutte pour une réappropriation culturelle.David Rautureau, 2020
Mots clés :