LE MONDE TOUCHE DU DOIGT
Numéro d'inventaire : 1996.29.01.2
Auteur : POUNIA Colette
Date de création : 1994
Domaine : Peinture
Matière technique : Huile sur toile
Mesures : Hauteur en cm : 105 Largeur en cm : 200
Description : Cette œuvre est née d’un questionnement sur les origines, notamment inspiré de la lecture de Julia Kristava (Etrangers à nous-même) et d’une nouvelle de Borgès tirée d’Histoire universelle de l’infamie) parlant d’un empire où « l'Art de la cartographie fut poussé à une telle perfection que la carte d'une seule province occupait toute une ville ». L’artiste propose dans ce diptyque une variation sur la carte géographique, avec La Réunion comme “axis mundi”, au cœur de cercles concentriques qui suggèrent aussi bien une empreinte digitale (le doigt de Dieu ?) que des ondes qui se propagent vers l’extérieur. La cartographie que propose Colette Pounia procède d’un renversement perceptif et conceptuel. En écho, les spirales évoquent aussi bien les perturbations atmosphériques bien connues sous ces latitudes que le mouvement primitif présent dans la nature, de l’escargot à la galaxie, et repris comme symbole de l’infini dans la plupart des civilisations.Sur le plan technique, l’artiste a posé des couches successives à l’acrylique pour la représentation de la carte, recouverte ensuite d’une épaisseur noire peinte à l’huile dans laquelle elle est venue “tracer”, par retrait de matière, une empreinte digitale à la mesure du monde.Patricia de Bollivier, juillet 2010
Mots clés : représentation scientifique / PLANETE / ASTRE / ASTRES / ASTRONOMIE / SCIENCES PURES / TERRE / MINERALOGIE / GEOLOGIE/MILIEU NATUREL / SCIENCES PURES / OCEAN / HYDROGRAPHIE / GEOGRAPHIE MORPHOLOGIQUE / GEOLOGIE/MILIEU NATUREL / SCIENCES PURES /
Auteur : POUNIA Colette
Date de création : 1994
Domaine : Peinture
Matière technique : Huile sur toile
Mesures : Hauteur en cm : 105 Largeur en cm : 200
Description : Cette œuvre est née d’un questionnement sur les origines, notamment inspiré de la lecture de Julia Kristava (Etrangers à nous-même) et d’une nouvelle de Borgès tirée d’Histoire universelle de l’infamie) parlant d’un empire où « l'Art de la cartographie fut poussé à une telle perfection que la carte d'une seule province occupait toute une ville ». L’artiste propose dans ce diptyque une variation sur la carte géographique, avec La Réunion comme “axis mundi”, au cœur de cercles concentriques qui suggèrent aussi bien une empreinte digitale (le doigt de Dieu ?) que des ondes qui se propagent vers l’extérieur. La cartographie que propose Colette Pounia procède d’un renversement perceptif et conceptuel. En écho, les spirales évoquent aussi bien les perturbations atmosphériques bien connues sous ces latitudes que le mouvement primitif présent dans la nature, de l’escargot à la galaxie, et repris comme symbole de l’infini dans la plupart des civilisations.Sur le plan technique, l’artiste a posé des couches successives à l’acrylique pour la représentation de la carte, recouverte ensuite d’une épaisseur noire peinte à l’huile dans laquelle elle est venue “tracer”, par retrait de matière, une empreinte digitale à la mesure du monde.Patricia de Bollivier, juillet 2010
Mots clés : représentation scientifique / PLANETE / ASTRE / ASTRES / ASTRONOMIE / SCIENCES PURES / TERRE / MINERALOGIE / GEOLOGIE/MILIEU NATUREL / SCIENCES PURES / OCEAN / HYDROGRAPHIE / GEOGRAPHIE MORPHOLOGIQUE / GEOLOGIE/MILIEU NATUREL / SCIENCES PURES /