LA BAIE EN FLAMMES BLANCHES
Numéro d'inventaire : 1991.05.01
Auteur : ROUBANE Déborah
Date de création : 1990
Domaine : Peinture
Matière technique : Huile sur toile
Mesures :
Hauteur en cm : 33
Largeur en cm : 41
Description analytique : Un Paysage est peint à la manière dont on écrit une poésie. Les éléments sont suggérés plutôt que décrits. De sorte que cette peinture pourrait être une composition abstraite. Des traces de couleur blanche se mélangent avec du bleu, décliné sur plusieurs tons du plus clair au plus foncé. Le titre replace cette œuvre dans la catégorie des paysages marins. La baie est l'endroit où viennent mourir les vagues, les flammes blanches sont l'écume. Le sujet de la toile se résume à ces seuls éléments. L'allusion au feu par le mot flamme montre un caractère destructeur de l'eau qui ronge la pierre et la terre du rivage, à chaque vague qui s'échoue. Mouvement perpétuel de la terre qui tourne et qui crée des courants faisant aller l'eau de-ci de-là. La masse sombre qui traverse la toile en diagonale semble représenter un rocher sur lequel ruisselle l'eau, il s'agit donc d'un très gros plan au cœur même d'une vague. L'artiste a fait un tableau du détail du paysage, où le sujet est la nature liée au temps qu'il fait. Un artiste anglais nommé Turner peignait lui aussi les éléments déchaînés. Quand au cœur d'une tempête ou d'un cyclone, on ne voit presque plus rien de ce qui nous entoure, que des traces du vent ou de pluie, représentés sur une toile, cela donne comme " La baie en flammes blanches " une peinture abstraite. Sybille Chazot, catalogue "Itinérances"
Mots clés :
paysage - genre iconographique - VAGUE - METEOROLOGIE - SCIENCES PURES -
Auteur : ROUBANE Déborah
Date de création : 1990
Domaine : Peinture
Matière technique : Huile sur toile
Mesures :
Hauteur en cm : 33
Largeur en cm : 41
Description analytique : Un Paysage est peint à la manière dont on écrit une poésie. Les éléments sont suggérés plutôt que décrits. De sorte que cette peinture pourrait être une composition abstraite. Des traces de couleur blanche se mélangent avec du bleu, décliné sur plusieurs tons du plus clair au plus foncé. Le titre replace cette œuvre dans la catégorie des paysages marins. La baie est l'endroit où viennent mourir les vagues, les flammes blanches sont l'écume. Le sujet de la toile se résume à ces seuls éléments. L'allusion au feu par le mot flamme montre un caractère destructeur de l'eau qui ronge la pierre et la terre du rivage, à chaque vague qui s'échoue. Mouvement perpétuel de la terre qui tourne et qui crée des courants faisant aller l'eau de-ci de-là. La masse sombre qui traverse la toile en diagonale semble représenter un rocher sur lequel ruisselle l'eau, il s'agit donc d'un très gros plan au cœur même d'une vague. L'artiste a fait un tableau du détail du paysage, où le sujet est la nature liée au temps qu'il fait. Un artiste anglais nommé Turner peignait lui aussi les éléments déchaînés. Quand au cœur d'une tempête ou d'un cyclone, on ne voit presque plus rien de ce qui nous entoure, que des traces du vent ou de pluie, représentés sur une toile, cela donne comme " La baie en flammes blanches " une peinture abstraite. Sybille Chazot, catalogue "Itinérances"
Mots clés :
paysage - genre iconographique - VAGUE - METEOROLOGIE - SCIENCES PURES -