IMAGE RELEVEE DE MANDRAGORE A LA CHAMBRE OBSCURE
Numéro d'inventaire : 1996.27.01
Auteur : PADEAU Alain
Date de création : 1996
Domaine : Estampe
Matière technique : Technique mixte, toile brulée dans boitier reliquaire
Mesures :
Hauteur en cm : 59
Largeur en cm : 59
Description analytique : Ne cherchez pas la marque du pinceaux, ni la trace de crayons dans cette œuvre, même de très près vous n'y trouverez peut-être pas son empreinte. Bien sûr, il s'agit de l'empreinte certes, mais celle d'un visage sur lequel a été appliqué un tissu et qui y a laissé sa marque. On pense au Saint Suaire, portant l'image du Christ en négatif sans que l'on puisse expliquer scientifiquement ce phénomène d'impression. De plus l'utilisation du cadre en bois qui par son épaisseur fait davantage penser à un reliquaire, accentue un effet d'objet à protéger donc précieux. A quel jeu joue l'artiste, à celui de la vraie image ? Pas une simple représentation approximative selon la dextérité de la main qui l'a exécutée, mais quelque chose qui vient de l'objet lui-même. Mais il n'est pas question de miracle. Sur un visage a été appliqué un produit qui au contact du feu révèle la trace de l'acte premier de moulage primitif et se colore de brun. Les contours ne sont pas nets, ce qui rend non-identifiable le modèle: homme ? femme? quel âge ? Tout a été fait pour renforcer un effet de mystère. Sybille Chazot
Mots clés :
figure - figures - représentation humaine - genre iconographique - VISAGE - PARTIE DU CORPS - LE CORPS HUMAIN - ETRE HUMAIN - ANATOMIE - SCIENCES PURES - OEIL - PARTIE DE TETE - PARTIE DU CORPS - LE CORPS HUMAIN - ETRE HUMAIN - ANATOMIE - SCIENCES PURES - NEZ - PARTIE DE TETE - PARTIE DU CORPS - LE CORPS HUMAIN - ETRE HUMAIN - ANATOMIE - SCIENCES PURES -
Auteur : PADEAU Alain
Date de création : 1996
Domaine : Estampe
Matière technique : Technique mixte, toile brulée dans boitier reliquaire
Mesures :
Hauteur en cm : 59
Largeur en cm : 59
Description analytique : Ne cherchez pas la marque du pinceaux, ni la trace de crayons dans cette œuvre, même de très près vous n'y trouverez peut-être pas son empreinte. Bien sûr, il s'agit de l'empreinte certes, mais celle d'un visage sur lequel a été appliqué un tissu et qui y a laissé sa marque. On pense au Saint Suaire, portant l'image du Christ en négatif sans que l'on puisse expliquer scientifiquement ce phénomène d'impression. De plus l'utilisation du cadre en bois qui par son épaisseur fait davantage penser à un reliquaire, accentue un effet d'objet à protéger donc précieux. A quel jeu joue l'artiste, à celui de la vraie image ? Pas une simple représentation approximative selon la dextérité de la main qui l'a exécutée, mais quelque chose qui vient de l'objet lui-même. Mais il n'est pas question de miracle. Sur un visage a été appliqué un produit qui au contact du feu révèle la trace de l'acte premier de moulage primitif et se colore de brun. Les contours ne sont pas nets, ce qui rend non-identifiable le modèle: homme ? femme? quel âge ? Tout a été fait pour renforcer un effet de mystère. Sybille Chazot
Mots clés :
figure - figures - représentation humaine - genre iconographique - VISAGE - PARTIE DU CORPS - LE CORPS HUMAIN - ETRE HUMAIN - ANATOMIE - SCIENCES PURES - OEIL - PARTIE DE TETE - PARTIE DU CORPS - LE CORPS HUMAIN - ETRE HUMAIN - ANATOMIE - SCIENCES PURES - NEZ - PARTIE DE TETE - PARTIE DU CORPS - LE CORPS HUMAIN - ETRE HUMAIN - ANATOMIE - SCIENCES PURES -