PIE MANG 1
Numéro d'inventaire : 2004.16.03
Auteur : MAILLOT Henri
Date de création : 2004
Domaine : Estampe
Matière technique : Gravure
Mesures :
Hauteur en cm : 25
Largeur en cm : 25
Description analytique : Le travail d’Henri Maillot, d’abord centré sur la peinture (dans une période hyper-réaliste, de 1980 à 1982) se dirige rapidement et pour longtemps vers des pratiques d’art public (première commande publique en 1983 à Marseille) et des événementiels urbains. Si l’artiste touche également au dessin et à la gravure, il n’en reste pas moins que la sculpture domine dans sa production. Lorsque celle-ci n’est pas destinée à l’espace public (nécessitant une endurance des matériaux), elle se caractérise, sur le plan technique, par la précarité, la dérision (cartons, post-it…) et par la multiplicité des pratiques (dessin, aquarelle, peinture, monotype, bronze, assemblages, collages, installation…), pour des thématiques aussi variées que les baigneuses, le voyage et ses corollaires (l’exil, l’ailleurs…), l’Histoire, les paysages, les légendes et les héros qui peuplent l’imaginaire de l’île. Les gravures intitulées Pié Mang, Lavion, Kinola tout comme la sculpture en bronze intitulée arbre aux baigneuses s’inscrivent profondément dans l’épaisseur culturelle de son projet artistique où se côtoient les références à Cézanne comme à l’univers chaotique de Boris Gamaleya (1). Patricia de Bollivier juillet 2010 (1) Kinola est le titre d’un poème de Boris Gamaleya, qui parle d’un frêle esquif, dans Vali pour une Reine morte.
Mots clés :
représentation végétale - genre iconographique - ARBRE - PLANTE - BOTANIQUE - SCIENCES PURES -
Auteur : MAILLOT Henri
Date de création : 2004
Domaine : Estampe
Matière technique : Gravure
Mesures :
Hauteur en cm : 25
Largeur en cm : 25
Description analytique : Le travail d’Henri Maillot, d’abord centré sur la peinture (dans une période hyper-réaliste, de 1980 à 1982) se dirige rapidement et pour longtemps vers des pratiques d’art public (première commande publique en 1983 à Marseille) et des événementiels urbains. Si l’artiste touche également au dessin et à la gravure, il n’en reste pas moins que la sculpture domine dans sa production. Lorsque celle-ci n’est pas destinée à l’espace public (nécessitant une endurance des matériaux), elle se caractérise, sur le plan technique, par la précarité, la dérision (cartons, post-it…) et par la multiplicité des pratiques (dessin, aquarelle, peinture, monotype, bronze, assemblages, collages, installation…), pour des thématiques aussi variées que les baigneuses, le voyage et ses corollaires (l’exil, l’ailleurs…), l’Histoire, les paysages, les légendes et les héros qui peuplent l’imaginaire de l’île. Les gravures intitulées Pié Mang, Lavion, Kinola tout comme la sculpture en bronze intitulée arbre aux baigneuses s’inscrivent profondément dans l’épaisseur culturelle de son projet artistique où se côtoient les références à Cézanne comme à l’univers chaotique de Boris Gamaleya (1). Patricia de Bollivier juillet 2010 (1) Kinola est le titre d’un poème de Boris Gamaleya, qui parle d’un frêle esquif, dans Vali pour une Reine morte.
Mots clés :
représentation végétale - genre iconographique - ARBRE - PLANTE - BOTANIQUE - SCIENCES PURES -