LA CONSCIENCE DE SOI N'EST PAS FERMETURE DE LA COMMUNICATION
Numéro d'inventaire : 1993.05.03
Auteur : ELMA Mickaël
Date de création : 1992
Domaine : Estampe
Matière technique : Gravure sur arches 250, pointe sèche, roulette
Mesures :
Hauteur en cm : 20
Largeur en cm : 31,4
Description analytique : Dans la série « Nuages », gravures sur la langue créole acquises par l’Artothèque de La Réunion, Mickaël ELMA aborde de façon récurrente cette question de l’altérité ; « c’était pour moi un moyen d’appréhender le monde en donnant un sens aux éléments qui le composent ». Marqué par le minimalisme tout en prenant en compte le hasard et l’aléatoire Mickaël réalise en 1993 cette série de douze estampes dépouillées et impulsives qui s’achèvera par une gravure avec encre d’impression de couleur. Formes en apesanteur, géographies incertaines, volutes audacieuses, traces inachevées flottent dans l’espace immaculé de la feuille. Quelques notes de l’UNESCO ou d’illustres hommes, consignées et rapportées par l’artiste, nous entraînent vers des sens possibles et imaginaires. Débarrassées des repères préconçus les formes évoluent, se fragmentent, énigmatiques matières mentales dans l’archipel de notre imaginaire. Le trait lourd parfois se détache pour devenir virtuel dans un déplacement incessant. La forme est un souffle se modifiant mystérieusement au sein des creux charbonneux et des courbures lumineuses. Yves Michel Bernard, septembre 2010
Mots clés :
représentation non figurative -
Auteur : ELMA Mickaël
Date de création : 1992
Domaine : Estampe
Matière technique : Gravure sur arches 250, pointe sèche, roulette
Mesures :
Hauteur en cm : 20
Largeur en cm : 31,4
Description analytique : Dans la série « Nuages », gravures sur la langue créole acquises par l’Artothèque de La Réunion, Mickaël ELMA aborde de façon récurrente cette question de l’altérité ; « c’était pour moi un moyen d’appréhender le monde en donnant un sens aux éléments qui le composent ». Marqué par le minimalisme tout en prenant en compte le hasard et l’aléatoire Mickaël réalise en 1993 cette série de douze estampes dépouillées et impulsives qui s’achèvera par une gravure avec encre d’impression de couleur. Formes en apesanteur, géographies incertaines, volutes audacieuses, traces inachevées flottent dans l’espace immaculé de la feuille. Quelques notes de l’UNESCO ou d’illustres hommes, consignées et rapportées par l’artiste, nous entraînent vers des sens possibles et imaginaires. Débarrassées des repères préconçus les formes évoluent, se fragmentent, énigmatiques matières mentales dans l’archipel de notre imaginaire. Le trait lourd parfois se détache pour devenir virtuel dans un déplacement incessant. La forme est un souffle se modifiant mystérieusement au sein des creux charbonneux et des courbures lumineuses. Yves Michel Bernard, septembre 2010
Mots clés :
représentation non figurative -