LE PETIT ARBRE
Numéro d'inventaire : 2006.09.01
Auteur : FAUCON Bernard
Date de création : 2006
Domaine : Photographie
Matière technique : Tirage Fresson
Mesures :
Hauteur en cm : 60
Largeur en cm : 60
Description analytique : Le petit arbre est issu de la série Idoles et Sacrifices, les mots sont forts : les corps d’enfants sur fond d’or, le regard lointain et triste, annoncent la fin de l’innocence, des rêves aussi. Ils sont les idoles, alors que les paysages seraient tachés du sacrifice, rouge sang. On ignore à quel portrait correspond cette œuvre isolée que l’on comprend mieux en observant la série. Un arbre vert, solitaire devant une muraille grise, est le sujet central de la photographie. A son pied, une rivière de sang s’écoule, qui contraste vivement avec le vert de la frondaison, la nature est cruelle semble-t-il, la temps, le mort sont inscrits dans le vivant. Cette série marque la fin d’un cycle d'idéalisation entre l’enfance et l'or des Chambres désertées, et débouchera sur Les écritures, et le plaisir de dire, d’écrire. Idole et Sacrifice seraient un couple indissociable, mais il y a aussi dans ce travail l’idée que chaque image contient toutes les autres. Elle est aussi « une métaphore de l'impuissance de la photo, de son irrémédiable déficience face à l'intensité du vivant : le rouge des Sacrifices devenant la blessure, le désespoir de la photographie elle-même » dit l’artiste. Isabelle Poussier, janvier 2011
Mots clés :
ARBRE - PLANTE - BOTANIQUE - SCIENCES PURES - SANG - ELEMENT INTERNE DU CORPS - LE CORPS HUMAIN - ETRE HUMAIN - ANATOMIE - SCIENCES PURES -
Auteur : FAUCON Bernard
Date de création : 2006
Domaine : Photographie
Matière technique : Tirage Fresson
Mesures :
Hauteur en cm : 60
Largeur en cm : 60
Description analytique : Le petit arbre est issu de la série Idoles et Sacrifices, les mots sont forts : les corps d’enfants sur fond d’or, le regard lointain et triste, annoncent la fin de l’innocence, des rêves aussi. Ils sont les idoles, alors que les paysages seraient tachés du sacrifice, rouge sang. On ignore à quel portrait correspond cette œuvre isolée que l’on comprend mieux en observant la série. Un arbre vert, solitaire devant une muraille grise, est le sujet central de la photographie. A son pied, une rivière de sang s’écoule, qui contraste vivement avec le vert de la frondaison, la nature est cruelle semble-t-il, la temps, le mort sont inscrits dans le vivant. Cette série marque la fin d’un cycle d'idéalisation entre l’enfance et l'or des Chambres désertées, et débouchera sur Les écritures, et le plaisir de dire, d’écrire. Idole et Sacrifice seraient un couple indissociable, mais il y a aussi dans ce travail l’idée que chaque image contient toutes les autres. Elle est aussi « une métaphore de l'impuissance de la photo, de son irrémédiable déficience face à l'intensité du vivant : le rouge des Sacrifices devenant la blessure, le désespoir de la photographie elle-même » dit l’artiste. Isabelle Poussier, janvier 2011
Mots clés :
ARBRE - PLANTE - BOTANIQUE - SCIENCES PURES - SANG - ELEMENT INTERNE DU CORPS - LE CORPS HUMAIN - ETRE HUMAIN - ANATOMIE - SCIENCES PURES -