SANS TITRE
Numéro d'inventaire : 2004.06.09
Auteur : ELMA Mickaël
Date de création : 1982
Domaine : Estampe
Matière technique : Pointe sèche
Mesures :
Hauteur avec cadre en cm : 30,5
Largeur en cm : 17,5
Description analytique : C’est en classe de troisième auprès de Robert LABOR, son professeur de dessin, qu’il découvre sa passion pour l’art. Robert LABOR s’installe au Tampon dans les années 70. Il est le seul enseignant d’arts plastiques réunionnais à avoir côtoyé les galeries parisiennes. Sa production de l’époque est très proche du post-cubisme. L’attention que portera LABOR à l’apprentissage de son jeune élève sera déterminante pour son orientation à venir : « il m’a ouvert des horizons… avec un avenir possible ». En effet après ces études secondaires Mickaël décide de quitter son île natale pour poursuivre son apprentissage à l’école supérieure des beaux-arts de Marseille, Luminy. La plupart des professeurs sont issus du mouvement Support/Surface ; Toni GRAND en sculpture, Claude VIALLAT et Christian JACCARD en peinture. Ils mettent donc en évidence dans leur enseignement la diversité des pratiques, la réalité des matériaux, du savoir et de l’expérience. Cette nouvelle « ouverture » sur l’art libère Mickaël du tableau sur chevalet pour l’amener à interroger la spécificité de la peinture dans des productions sérielles. Il obtient son diplôme national supérieur d’expression plastique en 1983 après cinq années d’études. Mickaël découvre la gravure dès 1981 à Marseille où il fréquente assidûment l’atelier de Sonja HOPF. Cette enseignante lui apprend les techniques du burin, de l’eau-forte, de la pointe sèche et la manière noire. Au-delà de la virtuosité technique et de l’acuité du travail Sonja HOPF transmettra à Mickaël cette écriture singulière du noir qu’elle utilise à l’époque pour la réalisation de son « mémorial des disparus ». Après l’obtention de son diplôme national supérieur d’expression plastique en 1983 Mickaël ELMA décide de rester vivre à Marseille, et participe à plusieurs biennales internationales de gravure. Son travail est remarqué par Antoine MENDIHARAT et lui ouvre les portes de la galerie BERGGRUEN à Paris. Yves Michel Bernard, septembre 2010
Mots clés :
CROIX - FIGURE CRUCIFORME - RELIGION - RELIGION CHRETIENNE - MORT DU CHRIST - SANG - ARC ARCHITECTURAL - COURONNEMENT D EPINES -
Auteur : ELMA Mickaël
Date de création : 1982
Domaine : Estampe
Matière technique : Pointe sèche
Mesures :
Hauteur avec cadre en cm : 30,5
Largeur en cm : 17,5
Description analytique : C’est en classe de troisième auprès de Robert LABOR, son professeur de dessin, qu’il découvre sa passion pour l’art. Robert LABOR s’installe au Tampon dans les années 70. Il est le seul enseignant d’arts plastiques réunionnais à avoir côtoyé les galeries parisiennes. Sa production de l’époque est très proche du post-cubisme. L’attention que portera LABOR à l’apprentissage de son jeune élève sera déterminante pour son orientation à venir : « il m’a ouvert des horizons… avec un avenir possible ». En effet après ces études secondaires Mickaël décide de quitter son île natale pour poursuivre son apprentissage à l’école supérieure des beaux-arts de Marseille, Luminy. La plupart des professeurs sont issus du mouvement Support/Surface ; Toni GRAND en sculpture, Claude VIALLAT et Christian JACCARD en peinture. Ils mettent donc en évidence dans leur enseignement la diversité des pratiques, la réalité des matériaux, du savoir et de l’expérience. Cette nouvelle « ouverture » sur l’art libère Mickaël du tableau sur chevalet pour l’amener à interroger la spécificité de la peinture dans des productions sérielles. Il obtient son diplôme national supérieur d’expression plastique en 1983 après cinq années d’études. Mickaël découvre la gravure dès 1981 à Marseille où il fréquente assidûment l’atelier de Sonja HOPF. Cette enseignante lui apprend les techniques du burin, de l’eau-forte, de la pointe sèche et la manière noire. Au-delà de la virtuosité technique et de l’acuité du travail Sonja HOPF transmettra à Mickaël cette écriture singulière du noir qu’elle utilise à l’époque pour la réalisation de son « mémorial des disparus ». Après l’obtention de son diplôme national supérieur d’expression plastique en 1983 Mickaël ELMA décide de rester vivre à Marseille, et participe à plusieurs biennales internationales de gravure. Son travail est remarqué par Antoine MENDIHARAT et lui ouvre les portes de la galerie BERGGRUEN à Paris. Yves Michel Bernard, septembre 2010
Mots clés :
CROIX - FIGURE CRUCIFORME - RELIGION - RELIGION CHRETIENNE - MORT DU CHRIST - SANG - ARC ARCHITECTURAL - COURONNEMENT D EPINES -