TRIANGLE NOIR
Numéro d'inventaire : 1998.05.01
Auteur : GISCLOUX Michèle
Date de création : Création
Domaine : Peinture
Matière technique : Acrylique sur papier ciment, épines.
Mesures : Hauteur en cm : 100 Largeur en cm : 100
Description : En 1998 Michèle Giscloux est invitée en Namibie par l’Institut français de Windhoek où elle participe à un workshop et rencontre notamment l’écrivain et collectionneur allemand Peter Strack. De la découverte des traditions ancestrales du peuple Herero elle ramènera à La Réunion des longues épines d’acacia utilisées pour ligaturer des vêtements. Michèle Giscloux les associera dans un nouveau travail aux papiers de sacs de ciment récupérés sur des chantiers. De cette association inattendue naît triangle noir métaphore d’un sexe ligaturé.Balafrant la composition suivant une longue ligne verticale, les épines s’incèrent au centre du sac éventré. Badigeonnées de poudre de craie blanche, les pointes d’acacia incisent la matière jusqu’à provoquer un boursouflement, une légère protubérance marquant une ligne de crête dans l’épaisseur des papiers enduits d’encre de Chine établissant une relation entre peinture abstraite contemporaine et gestes artisanaux ancestraux.Yves-Michel Bernard, novembre 2011
Mots clés : représentation non figurative / FEMME / PERSONNAGE / AGE ET SEXE / ETRE HUMAIN - ANATOMIE / SCIENCES PURES / SEXE / PARTIE DU CORPS / LE CORPS HUMAIN / ETRE HUMAIN - ANATOMIE / SCIENCES PURES / EPINE / PARTIE DE VEGETAL / BOTANIQUE / SCIENCES PURES / TRIANGLE / FIGURE GEOMETRIQUE / ETRE DE RAISON / ETRE IMAGINAIRE / ART ET DIVERTISSEMENT /
Auteur : GISCLOUX Michèle
Date de création : Création
Domaine : Peinture
Matière technique : Acrylique sur papier ciment, épines.
Mesures : Hauteur en cm : 100 Largeur en cm : 100
Description : En 1998 Michèle Giscloux est invitée en Namibie par l’Institut français de Windhoek où elle participe à un workshop et rencontre notamment l’écrivain et collectionneur allemand Peter Strack. De la découverte des traditions ancestrales du peuple Herero elle ramènera à La Réunion des longues épines d’acacia utilisées pour ligaturer des vêtements. Michèle Giscloux les associera dans un nouveau travail aux papiers de sacs de ciment récupérés sur des chantiers. De cette association inattendue naît triangle noir métaphore d’un sexe ligaturé.Balafrant la composition suivant une longue ligne verticale, les épines s’incèrent au centre du sac éventré. Badigeonnées de poudre de craie blanche, les pointes d’acacia incisent la matière jusqu’à provoquer un boursouflement, une légère protubérance marquant une ligne de crête dans l’épaisseur des papiers enduits d’encre de Chine établissant une relation entre peinture abstraite contemporaine et gestes artisanaux ancestraux.Yves-Michel Bernard, novembre 2011
Mots clés : représentation non figurative / FEMME / PERSONNAGE / AGE ET SEXE / ETRE HUMAIN - ANATOMIE / SCIENCES PURES / SEXE / PARTIE DU CORPS / LE CORPS HUMAIN / ETRE HUMAIN - ANATOMIE / SCIENCES PURES / EPINE / PARTIE DE VEGETAL / BOTANIQUE / SCIENCES PURES / TRIANGLE / FIGURE GEOMETRIQUE / ETRE DE RAISON / ETRE IMAGINAIRE / ART ET DIVERTISSEMENT /