FLEURIMONT
Numéro d'inventaire : 1996.44.18
Auteur : HOARAU Thierry
Date de création : 10/1994
Domaine :
Matière technique : Photographie noir et blanc
Mesures : Hauteur en cm : 37,5 Largeur en cm : 55,7
Description : Thierry HOARAU commence la photographie en 1988 dans la presse quotidienne de La Réunion. En février 1991 il intègre une agence de presse lui permettant d’approfondir sa pratique du Noir et Blanc, et de développer un style photographique plus personnel. En 1992, parallèlement à la photographie il travaille dans la vidéo comme opérateur de prise de vues pour des films institutionnels, des documentaires d’information, des magazines de télévision… En 1995 il est lauréat du prix du jury Ilford.Thierry HOARAU « mitraille » pendant 4 ans les faits et gestes du chanteur Daniel WARO, grand défenseur du maloya traditionnel ; en concert, en répétition, chez lui, à mobylette… Ainsi ont été photographiés : «Akbar 20 désanm » à Fleurimont en décembre 1992, soirée « Amnesty International » à Paris en avril1993, la Grande Chaloupe en juillet 1994, Festival kréol à Victoria aux Seychelles en Octobre 1995…Un reportage passionnant qui au fil des années a crée des liens d’amitié. De ces milliers de clichés, Thierry HOARAU sort un portfolio composé de 20 photographies en noir et blanc, imprimées sur carton. Ce document, préfacé par l’écrivain Patrice Theuthardt, s’accompagne d’une exposition de photo baptisée « Kosa in soz ? .Blan si nwar, nwar si blan ». Ce sont des tranches de vie » explique Thierry HOARAU. « Je ne voulais pas laisser les moments que vivait Danyel Waro sans aucune mémoire. Il est important de fixer les choses et de les montrer au plus grand nombre ». Cette exposition et ce document viennent compléter le livre de Danyel Waro, « Demavouz la vie », sorti en 1996.« Ce sont des photos que j’ai prise au départ de façon informelle, au cours d’un kabar en 1992, » poursuit le photographe. C’est un « mec » assez simple qui a accepté spontanément. Ce sont des photos qui sont liées entre elles et qui racontent une histoire ».Extrait du Jir, juin 1996
Mots clés : portrait / portraits / représentation humaine / genre iconographique / scène de genre / scènes / représentation humaine / genre iconographique / INSTRUMENT DE MUSIQUE / ART DE LA MUSIQUE / LES ARTS / ART ET SPECTACLE / ART ET DIVERTISSEMENT / FEU / LES QUATRE ELEMENTS / CHIMIE / SCIENCES PURES /
Auteur : HOARAU Thierry
Date de création : 10/1994
Domaine :
Matière technique : Photographie noir et blanc
Mesures : Hauteur en cm : 37,5 Largeur en cm : 55,7
Description : Thierry HOARAU commence la photographie en 1988 dans la presse quotidienne de La Réunion. En février 1991 il intègre une agence de presse lui permettant d’approfondir sa pratique du Noir et Blanc, et de développer un style photographique plus personnel. En 1992, parallèlement à la photographie il travaille dans la vidéo comme opérateur de prise de vues pour des films institutionnels, des documentaires d’information, des magazines de télévision… En 1995 il est lauréat du prix du jury Ilford.Thierry HOARAU « mitraille » pendant 4 ans les faits et gestes du chanteur Daniel WARO, grand défenseur du maloya traditionnel ; en concert, en répétition, chez lui, à mobylette… Ainsi ont été photographiés : «Akbar 20 désanm » à Fleurimont en décembre 1992, soirée « Amnesty International » à Paris en avril1993, la Grande Chaloupe en juillet 1994, Festival kréol à Victoria aux Seychelles en Octobre 1995…Un reportage passionnant qui au fil des années a crée des liens d’amitié. De ces milliers de clichés, Thierry HOARAU sort un portfolio composé de 20 photographies en noir et blanc, imprimées sur carton. Ce document, préfacé par l’écrivain Patrice Theuthardt, s’accompagne d’une exposition de photo baptisée « Kosa in soz ? .Blan si nwar, nwar si blan ». Ce sont des tranches de vie » explique Thierry HOARAU. « Je ne voulais pas laisser les moments que vivait Danyel Waro sans aucune mémoire. Il est important de fixer les choses et de les montrer au plus grand nombre ». Cette exposition et ce document viennent compléter le livre de Danyel Waro, « Demavouz la vie », sorti en 1996.« Ce sont des photos que j’ai prise au départ de façon informelle, au cours d’un kabar en 1992, » poursuit le photographe. C’est un « mec » assez simple qui a accepté spontanément. Ce sont des photos qui sont liées entre elles et qui racontent une histoire ».Extrait du Jir, juin 1996
Mots clés : portrait / portraits / représentation humaine / genre iconographique / scène de genre / scènes / représentation humaine / genre iconographique / INSTRUMENT DE MUSIQUE / ART DE LA MUSIQUE / LES ARTS / ART ET SPECTACLE / ART ET DIVERTISSEMENT / FEU / LES QUATRE ELEMENTS / CHIMIE / SCIENCES PURES /